Toute l’actualité de Mayotte
Alors que l’incertitude persiste quant aux expulsions de Comoriens en situation irrégulière à la frontière, le gouverneur de l’île d’Anjouan a récemment annoncé la création d’un « comité de vigilance » dans le but de faire face à toute arrivée massive de personnes expulsées de Mayotte.
Mohamed Bacar ayant été démis de ses fonctions, au sein de la majorité Les Républicains (LR), on affirme l’unité malgré quelques difficultés à dissimuler les ambitions individuelles. Jusqu’à présent, ces aspirations se limitent au sein du groupe majoritaire.
Accompagnée de quatre ministres, elle entame ainsi une visite de trois jours dans cette île de l’océan Indien. L’éventualité d’un passage à Mayotte reste incertaine.
Un jour après la rencontre du président Azali Assouman et Emmanuel Macron à Paris, Gérald Darmanin a déclaré que les éloignements des comoriens en situation irrégulière à Mayotte allaient reprendre, les Comores ayant donné leur accord.
Dans le paysage politique français, les élections sénatoriales reviennent tous les trois ans pour procéder au renouvellement des sièges sénatoriaux. Ce processus, qui s’effectue par moitié sur un mandat total de six ans, permet de conquérir potentiellement 170 places.Le département de Mayotte est concerné cette année.
Hier, le 10 mai, le tribunal correctionnel de Mamoudzou a prononcé son verdict concernant deux accusations portées à l’encontre de Bacar Mohamed, maire de Tsingoni. Il a été condamné à douze mois de prison avec sursis, assortis d’une amende de 15 000 euros, ainsi qu’à une peine d’inéligibilité de trois ans avec exécution provisoire pour prise illégale d’intérêts.
Un nouvel espoir après l’attaque violente du 4 avril dernier. Mtsangadoua. Hier matin, le lycée de la cité du Nord a rouvert ses portes progressivement, marquant ainsi un nouveau chapitre après l’attaque sauvage perpétrée par une horde cagoulée et armée de couteaux au lycée d’Acoua, dans le Nord de l’île, le 4 avril dernier.
Annoncée de manière voilée en direct à la télévision, une rencontre très discrète a enfin eu lieu entre le président français Emmanuel Macron et son homologue de l’Union des Comores, Azali Assoumani, lundi 8 mai au soir. Le lendemain, c’était au tour des ministres des affaires étrangères respectifs de se rencontrer pour débattre sur la reprise des lisaisons maritimes.
Le président comorien Azali Assoumani, demande à Emmanuel Macron de suspendre l’opération Wuambushu qui vise à expulser des milliers de Comoriens en situation illégale.
La journée de commémoration nous rappelle l’importance de se souvenir des sacrifices de ces héros qui ont donné leur vie pour défendre notre liberté. Leurs actes héroïques doivent continuer à inspirer les générations à venir, afin que les valeurs pour lesquelles ils se sont battus ne soient jamais oubliées.
