Contrairement à la première édition, cette nouvelle opération n’apportera pas de renforts de forces de l’ordre, malgré le doublement des effectifs depuis 2017 rapporte Mayotte La 1ère. La stratégie inclura des moyens aériens, maritimes, et terrestres, avec un accent sur la judiciarisation des fauteurs de troubles.
De plus, cette opération survient dans un contexte de relations tendues avec les Comores, notamment en raison de la gestion des migrations. La ministre a évoqué un dialogue renforcé avec les pays de la région pour améliorer la collaboration sur les questions migratoires et de développement.
Le soi-disant « rideau de fer maritime » reste encore à définir, alors que Mayotte fait face à des défis sanitaires avec l’apparition du choléra. Les détails sur ce dispositif sont attendus pour renforcer la surveillance des frontières maritimes.
Face à une recrudescence de la violence, notamment avec des caillassages de bus, la population locale et les élus attendent avec impatience le début de cette opération, espérant qu’elle apportera des résultats concrets et durables pour la sécurité et la stabilité de l’île.