Alors que Koungou reste l’épicentre de l’épidémie avec 60 cas locaux, l’attention se tourne désormais vers Mtsangamouji où la transmission commence à s’intensifier avec cinq nouveaux cas rapportés cette semaine. Ces infections auraient pour origine l’usage des eaux de rivière, soulignant les défis en matière d’hygiène et d’assainissement rapporte La 1ère.
Mamoudzou rapporte également deux cas autochtones, sans liens apparents avec les foyers existants, accentuant le risque de propagation indépendante dans d’autres zones. L’étude souligne également la présence de 17 cas importés, principalement localisés dans les communes de Dzaoudzi, Ouangani et Kani-Kéli, sans signe de transmission communautaire.
Face à ce tableau, Santé Publique France alerte sur le risque étendu de transmission locale, particulièrement dans les quartiers défavorisés, exacerbé par des conditions sanitaires précaires.