Malgré les campagnes de sensibilisation, la population semble minimiser la gravité de la situation, exacerbée par un accès limité à l’eau potable.
Les autorités sanitaires, confrontées à des défis logistiques et à un déni persistant, peinent à endiguer la propagation de la maladie, qui sévit principalement à Moroni, la capitale selon le JDM.
Les hommes sont plus affectés, notamment dans la tranche d’âge des 20-24 ans, et malgré les efforts déployés, le choléra, maladie endémique aux Comores, continue de défier les mesures de lutte.