La générosité des riverains, qui partagent leur repas pour rompre le jeûne, est devenue une source de conflit, certains migrants déplorant une répartition des vivres perçue comme injuste. Le week-end a également été marqué par des agressions ciblant des femmes congolaises, ajoutant à l’atmosphère de tension.
L’escalade de la violence a conduit les agents du conseil départemental à exercer leur droit de retrait, refusant d’intervenir dans un contexte jugé trop dangereux.
De plus, la situation sanitaire parmi les migrants suscite des inquiétudes, bien que les informations précises sur leur état de santé restent limitées selon L’info Kwezi.