Le gouvernement a observé la procédure avec bienveillance, notant l’importance de souligner ces discriminations spécifiques. Aurore Bergé, ministre à l’égalité femmes hommes, a reconnu la nécessité de clarifier une législation existante mais pas suffisamment tranchée rapporte France info.
Discrimination capillaire: une proposition de loi examinée ce mercredi en commission à l’Assemblée pic.twitter.com/5u3ZQcY8tN
— BFMTV (@BFMTV) March 20, 2024
Ce débat législatif n’a pas été sans controverses. Si la gauche a exprimé un soutien fervent, la droite s’est montrée critique, qualifiant l’initiative de « droit bavard« . Le RN a même questionné la pertinence de cette loi au regard d’autres préoccupations nationales. Mais l’écho des témoignages personnels, comme celui de la députée Fanta Berete sur ses propres expériences discriminatoires, a illustré la nécessité d’agir.
Cette loi, qui s’inspire de législations américaines telles que le « Crown Act » californien, est une victoire pour les militants anti-discrimination.
The Missouri House of Representatives finalized a bill which would ban discrimination based on natural hair textures and cultural styles. 24 states have passed a version of the CROWN Act. Missouri would be the 25th. #CrownAct pic.twitter.com/vtgVe9H1ML
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