Selon l’accord, les personnels du rectorat ne devraient pas rester plus de 2h30 sans accès aux sanitaires. Si cette limite est atteinte, les employés peuvent quitter les locaux tout en assurant, si possible, la continuité du service à distance. De plus, de l’eau potable sera mise gratuitement à disposition. En situation de coupures, tout décalage à l’arrivée ou au départ devra être compensé : par exemple, si un agent commence son service avec une heure de retard, il devra partir une heure plus tard rapporte le JDM.
Suite à ces propositions, une assemblée générale a été tenue. 60 % des personnels ont voté en faveur de la levée du préavis de grève et de la rédaction d’un protocole basé sur ces accords. 90 % ont également exprimé leur souhait de voir la création d’un comité de suivi qui informera, chaque semaine, des progrès relatifs à la mise en œuvre du télétravail.
Enfin, malgré la demande d’une généralisation des heures de travail, le recteur a opté pour une approche plus individualisée, prenant en compte les spécificités de chaque service et la capacité technique de chaque agent à travailler de chez lui.
Cette démarche vise à garantir une équité entre tous les agents, y compris ceux pour lesquels le télétravail reste impossible.