Lauréat du premier Appel à Projets BESTLIFE2030, la CAGNM entend réhabiliter cet écosystème dégradé en replantant 2 500 arbres indigènes rapporte L’Info Kwezi.
Cette initiative, financée à hauteur de 95 % par l’Union européenne, représente plus de 90 000 euros d’investissement. Sur une durée de 30 mois, les travaux viseront à revitaliser des ripisylves malmenées, afin de protéger les ressources en eau, préserver la biodiversité et accroître la résilience climatique de l’île.
Au-delà de la réhabilitation physique de la rivière, le projet prévoit des actions de sensibilisation pour impliquer les communautés locales, assurant ainsi un impact durable. Les acteurs espèrent que cette démarche, placée sous le signe du dialogue et de la préservation, deviendra un modèle pour d’autres initiatives environnementales à Mayotte.