« Le seul spécimen de cachalot pygmée que nous avions identifié jusqu’ici était un animal mort échoué« , explique l’association Globice dans son post. « Un individu de cette espèce est d’ailleurs naturalisé au Muséum d’Histoire Naturelle à Saint-Denis. »
Le cachalot pygmée est réputé pour être très discret et difficile à approcher. « On sait peu de choses sur le cachalot pygmée« , précisent les équipes de Globice. « Trapu, il peut atteindre 3,5 mètres de long et peser 400 kilogrammes. Sa petite nageoire dorsale et sa mâchoire caractéristique peuvent le faire confondre avec un requin. »
La découverte de cette nouvelle espèce renforce la réputation de La Réunion en tant que véritable « hotspot » de biodiversité marine. L’île compte désormais 25 espèces de cétacés potentiellement observables, témoignant de la richesse et de la diversité de sa faune marine.
Photo : Globice Réunion sur Facebook