Le prévenu, qui affirme son innocence, terrorisait sa famille, souvent par frustration ou colère liée au manque d’argent rapporte L’info Kwezi.
À la barre du tribunal, la mère, en larmes, a décrit la souffrance qu’elle subit au quotidien. « Je suis fatiguée, il nous frappe tout le temps« , a-t-elle confié. Son fils de 8 ans a également exprimé sa peur face à la violence de son grand frère.
En plus de la peine de prison, le jeune homme est contraint de suivre des soins pour gérer ses accès de colère. Si cette obligation n’est pas respectée, les 4 mois de sursis seront transformés en prison ferme. Déjà condamné pour des faits similaires, la question reste de savoir si ce suivi thérapeutique sera pris au sérieux et s’il permettra une amélioration de sa santé mentale.