Toute l’actualité de Mayotte
Ce matin, les équipes de la réserve sanitaire de l’ARS se sont déployées à Vahibé pour administrer des vaccins contre le choléra à la population. Cette campagne de vaccination vise principalement les villages où l’accès à l’eau potable est plus restreint, augmentant ainsi le risque de propagation du choléra.
Le 1er juillet 2024 marque une étape importante pour les consommateurs de carburants à Mayotte, avec l’annonce par le Préfet d’une révision à la baisse des prix maximums des principaux produits pétroliers.
Le 14 juillet 2024, Mamoudzou et ses environs s’apprêtent à célébrer la Fête nationale française avec une série d’événements et de festivités qui promettent d’attirer une grande foule. Voici un aperçu des activités prévues pour cette journée emblématique.
Le ministère de l’Éducation nationale a dévoilé les chiffres alarmants concernant les postes d’enseignants non pourvus pour la rentrée 2024. Avec 3 200 postes vacants à l’échelle nationale, Mayotte et la Guyane restent parmi les académies les plus touchées, surtout dans le premier degré.
La grève à La Poste à Mayotte continue malgré une journée de confrontation judiciaire au tribunal judiciaire de Mamoudzou. Depuis le 26 juin, les grévistes bloquent le centre de tri de Kaweni, un acte jugé illégal par la direction de La Poste, qui a sollicité l’intervention du tribunal pour lever ce blocage.
Un corps sans vie a été découvert ce mercredi vers midi sur la plage de Sada, à quelques mètres du rivage.
Ce mercredi 10 juillet 2024, à 8h55, un séisme de magnitude 6.5 a été enregistré par la station météorologique de Vacoas. L’épicentre du tremblement de terre se situe à une latitude de 53.3° sud et une longitude de 25.4° est, soit à environ 4500 km au sud-ouest de l’île Maurice.
Les communes de M’tsamboro, Bandraboua, et le village de M’tsangadoua (Acoua) sont confrontés à une coupure d’eau imprévue depuis hier soir. Une casse a endommagé le réseau d’adduction du Nord à hauteur de Bandraboua.
Une opération d’évacuation est actuellement en cours à Cavani, ciblant une partie des migrants, apparemment d’origine somalienne, et visant à nettoyer le site.
À Kani Keli, la situation reste explosive suite aux récentes violences. Les habitants, exaspérés, ont verrouillé plusieurs bâtiments administratifs du village de Kani Be avec des cadenas et des chaînes.
