Le 8 novembre 2019, lors d’une plongée nocturne organisée par le club, un incident a gravement blessé J.M., un plongeur expérimenté, lorsque l’hélice du bateau lui a entaillé la jambe rapporte le JDM. Selon le directeur de plongée, C.M., la manœuvre en marche arrière était nécessaire pour éviter de heurter le platier, mais a conduit à l’accident.
Le procès a mis en lumière des pratiques potentiellement dangereuses et une possible négligence dans les mesures de sécurité habituellement strictes dans les activités de plongée. Le directeur de plongée a insisté sur le fait que les plongeurs avaient été briefés sur les procédures, mais l’accident soulève des questions sur l’efficacité de ces directives.
L’avocat de J.M., Me Hugo Salquain, a réclamé des dommages et intérêts substantiels, tandis que la vice procureure Françoise Toillon a pointé une imprudence de la part de C.M., demandant une condamnation pour négligence. La défense a cependant argué que les actions de C.M. ne constituaient pas une violation directe des normes de sécurité, mentionnant une absence de régulations spécifiques concernant la remise en marche des moteurs après la mise à l’eau des plongeurs.