Toute l’actualité de Mayotte
Le calme a volé en éclats, ce jeudi en début d’après-midi, au lycée des Lumières de Kawéni. Vers 12 h 30, un groupe de jeunes extérieurs à l’établissement a pris pour cible les bâtiments, les bombardant de pierres et semant la panique dans les cours.
Le calme de la zone sportive de Longoni a été brusquement rompu, mardi 4 novembre en début de soirée.
Le calme de Mramadoudou, sur la commune de Chirongui, a été brisé lundi matin par une agression d’une extrême violence.
Après dix jours d’espoir et d’efforts inlassables, les proches d’Eliot, le jeune photographe disparu en mer au nord de Mayotte, ont annoncé ce dimanche 2 novembre la fin de leurs recherches.
Après deux jours de mobilisation intense, les secours ont mis fin aux recherches pour retrouver le jeune homme porté disparu depuis jeudi au large des îlots Choizil, au nord de Mayotte.
Ce qui devait être une journée de tournage s’est transformé en tragédie. Un jeune homme est porté disparu depuis jeudi 23 octobre au large des îlots Choizil, au nord de Mayotte.
À Kawéni, la nuit de lundi à mardi a failli virer au drame. Un simple arrêt pour se reposer s’est transformé en agression violente lorsqu’un automobiliste s’est retrouvé face à trois hommes armés, bien décidés à le détrousser.
Lundi soir, la quiétude du village de Tsimkoura, dans la commune de Chirongui, a volé en éclats. Un habitant a été violemment attaqué par plusieurs individus alors qu’il rentrait tranquillement chez lui.
La tranquillité d’une ruelle de Koungou a volé en éclats dans la nuit de samedi à dimanche, lorsqu’un homme, manifestement ivre, a semé la panique en s’en prenant aux passants.
L’émotion était palpable, ce jeudi 16 octobre, dans la salle d’audience de la cour d’assises de Mayotte. Une jeune mère de 24 ans y a été condamnée à huit ans de réclusion criminelle pour le meurtre de son nourrisson, un bébé de deux mois atteint de trisomie 21.
Le sommeil des habitants de Majicavo Koropa a été brutalement interrompu dans la nuit du 15 au 16 octobre.
Ce qui devait être une affaire de violences conjugales s’est transformé en un renversement total de rôles. À Koungou, une femme a été reconnue coupable de dénonciation mensongère après avoir accusé à tort son mari de l’avoir frappée.