Les revendications pointent des conditions de travail éprouvantes, aggravées par la saturation chronique des urgences. La fermeture des maternités de Dzoumogné et Mramadoudou, entraînant un afflux de patientes vers Mamoudzou et Kahani, ne fait qu’exacerber la crise rapporte L’Info Kwezi.
Face à ces défis, les syndicats réclament des investissements rapides et concrets pour améliorer les infrastructures et les effectifs. Selon eux, cette grève est un cri d’alerte pour attirer l’attention des autorités sur l’urgence sanitaire qui frappe l’île.