Ce matériel, interdit de vente aux particuliers depuis un arrêté préfectoral, interroge : comment a-t-il pu circuler et se retrouver aux portes d’un quartier déjà promis à la démolition ? rapporte L’Info Kwezi La saisie relance les soupçons sur l’existence de filières parallèles alimentant les bidonvilles de l’île.
Les autorités ont aussitôt lancé des investigations pour identifier les fournisseurs et éventuels complices. Les sanctions promises devraient être lourdes : l’État veut frapper fort pour couper court à toute tentative de reconstitution des habitats insalubres.