La star, dont le nom rime désormais avec les pires chefs d’accusation, sera présentée dès ce samedi à un juge d’instruction rapporte Mayotte La 1ère. Objectif : une probable mise en examen qui scellerait son passage du tapis rouge au prétoire.
L’affaire a éclaté jeudi matin lorsque l’artiste a été interpellé et placé en garde à vue. Le réquisitoire du parquet est glaçant : il porte sur des soupçons de viol aggravé sur mineure de moins de 15 ans, le seuil le plus bas et le plus choquant. Mais l’horreur ne s’arrête pas là. Une seconde charge pèse sur Staco : la diffusion d’images pédopornographiques.
Selon des sources proches du dossier, le contenu en question proviendrait de vidéos où le chanteur aurait eu des relations sexuelles avec deux femmes, l’une d’elles étant identifiée comme mineure. La révélation, annoncée par le parquet vendredi soir, a l’effet d’une bombe dans le milieu du show-business.
Le monde du spectacle retient son souffle en attendant l’audience de samedi. Le rôle du juge d’instruction sera crucial : évaluer la solidité des « indices graves ou concordants » requis par la loi. Si ces éléments sont jugés suffisants, le chanteur Staco se retrouvera officiellement mis en examen.
En parallèle de cette procédure, des mesures de sûreté pourraient être imposées immédiatement pour prévenir tout risque. Celles-ci vont du simple contrôle judiciaire ou de l’assignation à résidence, jusqu’à la solution la plus radicale : une demande de placement en détention provisoire auprès du juge des libertés et de la détention (JLD).



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