Plutôt que de s’attaquer aux portes, ils ont choisi la voie des airs : passage par le toit, bris du faux plafond, puis descente directe dans les bureaux rapporte L’Info Kwezi.
Le butin est de quelques cartes bancaires et un téléphone portable. Les livres, pourtant cœur du lieu, n’ont pas intéressé les voleurs. Un détail qui intrigue autant qu’il agace.
L’affaire a provoqué stupeur et colère au sein des services municipaux, qui rappellent que les bâtiments publics sont régulièrement la cible d’actes de délinquance. Une enquête a été ouverte pour identifier les auteurs et comprendre les circonstances de ce vol qui met, une fois de plus, en lumière la fragilité des équipements culturels du territoire.