Deux hommes comparaissent pour des faits survenus le 17 novembre 2021 dans le village de Miréréni, à Tsingoni rapporte L’Info Kwezi.
Le premier accusé, sans détour, admet sa responsabilité dans le vol à main armée. Armé d’un couteau, il a menacé une femme en lui pointant la lame sous la gorge, avant de s’emparer de son téléphone portable. Tentant de justifier son geste, il met en avant son état d’ébriété au moment des faits. « J’avais trop bu, je ne savais plus ce que je faisais », a-t-il déclaré à la barre, cherchant à minimiser la portée de son acte.
Le second accusé, en revanche, se trouve dans une situation plus complexe. En plus du vol, il est également poursuivi pour viol. Face à l’accusation, l’homme se défend en affirmant que le rapport sexuel était consenti. Une version fermement contredite par la victime, dont les déclarations sont soutenues par l’expertise psychologique. « Ce n’était en aucun cas consensuel », insiste l’avocat de la plaignante, soulignant l’impact psychologique profond de cette agression.