Toute l’actualité de Mayotte
L’inquiétude monte à Mayotte face à la recrudescence rapide des cas de chikungunya. Ce vendredi 16 mai, la préfecture et l’Agence Régionale de Santé (ARS) ont annoncé le déclenchement du niveau 2B du plan ORSEC, un dispositif de crise censé endiguer la propagation du virus avant qu’une épidémie ne s’installe.
Ce qui n’était au départ qu’un violent fait divers a désormais viré au drame mortel. Dans la nuit du 26 au 27 avril, une case en tôle a été volontairement incendiée dans le quartier de Magnasinni à Iloni, commune de Dembéni.
Alors que le chikungunya gagne du terrain à Mayotte, les autorités sanitaires font face à une autre bataille : convaincre la population de se faire vacciner.
L’épidémie de chikungunya continue de frapper durement le territoire, avec un bilan humain qui pourrait s’alourdir dans les prochains jours. D’après Santé Publique France, 20 nouveaux décès sont actuellement à l’étude pour un lien possible avec le virus, dont celui d’un nourrisson.
L’opération de contrôle menée par le CODAF (Comité opérationnel départemental anti-fraude) dans un grand commerce de Mamoudzou a révélé un tableau aussi nauséabond qu’alarmant.
Le chikungunya regagne du terrain sur l’île. Selon le dernier bulletin de l’ARS, 55 cas ont été recensés entre le 19 et le 24 avril. Parmi eux, 25 infections sont importées, 17 locales, et 13 restent encore à élucider.
Ce mardi 22 avril 2025 marque un tournant dans la lutte contre l’épidémie de chikungunya à Mayotte. Le Centre Hospitalier de Mamoudzou (CHM) a lancé sa campagne de vaccination, ciblant dans un premier temps les personnes âgées et les patients souffrant de pathologies chroniques.
En deux semaines, la menace a pris de l’ampleur. À Mayotte, le moustique vecteur du Chikungunya a repris du service, laissant derrière lui une traînée de fièvre, de douleurs articulaires et d’inquiétude.
À Mayotte, l’association AMALCA (Association Mahoraise pour la Lutte Contre le Cancer) déploie une initiative pleine de bienveillance à l’occasion de la semaine du 7 au 13 avril.
L’alerte est montée d’un cran à Mayotte. Dans son dernier bulletin en date du 4 avril, l’Agence Régionale de Santé (ARS) confirme la présence de douze cas de chikungunya sur le territoire.
Le virus du chikungunya refait parler de lui à Mayotte. Ce vendredi 21 mars, l’Agence Régionale de Santé (ARS) a confirmé la détection d’un deuxième cas importé, cette fois dans la commune de Chirongui, au sud de l’île.
Depuis le 4 février, des fumées épaisses s’élèvent au-dessus de Hajangua, conséquence directe d’une décision exceptionnelle de la préfecture de Mayotte : brûler 6 000 tonnes de déchets ménagers plutôt que de les exporter ou de les traiter localement.