Bilan provisoire : 14 morts. Une tragédie d’une ampleur rare, qui laisse la Polynésie française sous le choc rapporte L’Info Kwezi.
Lorsque les secours arrivent, le paysage n’est plus qu’un chaos de débris, d’arbres déracinés et de maisons éventrées. Les équipes doivent progresser lentement, dans une zone rendue instable par les intempéries. Chaque pas est un risque, chaque minute une course contre le temps. Pompiers, gendarmes, maîtres-chiens et drones scrutent le moindre mouvement de terrain, espérant ne laisser derrière eux aucune victime ensevelie.
La ministre des Outre-mer, Naïma Moutchou, suit la situation heure par heure. Elle a adressé un message de soutien aux habitants, saluant le courage des secours engagés dans des conditions particulièrement dangereuses. « Mes pensées vont aux familles endeuillées », a-t-elle déclaré, alors que la Polynésie pleure ses morts.
Pour épauler les équipes locales, deux géologues venus de Nouvelle-Calédonie et des experts techniques dépêchés depuis la métropole sont attendus sur place. Leur mission : analyser les risques, comprendre les origines du glissement, et éviter qu’un second drame ne frappe ce secteur déjà réputé fragile.
Sur le terrain, l’État assure qu’il restera mobilisé pour accompagner les victimes, soutenir les communes affectées et renforcer la surveillance de cette zone instable.



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