Ses messages controversés ont critiqué l’opération Wuambushu et les parlementaires mahorais. Bien que le Conseil supérieur de la magistrature autorise les magistrats à utiliser les réseaux sociaux, certaines règles déontologiques doivent être respectées.
Démystification de l’anonymat
Rousseau a attaqué plusieurs figures politiques, comme le député Mansour Kamardine et le sénateur Thani Mohamed Soilihi rapporte Le Journal de Mayotte. Ses déclarations enflamment le débat sur l’impartialité des juges, d’autant plus que les magistrats doivent respecter des obligations déontologiques, même lorsqu’ils sont sur les réseaux sociaux.
Question d’éthique et d’impartialité
La controverse a soulevé des questions sur le jugement des affaires liées à l’immigration et la politique pénale à Mayotte. Le Conseil supérieur de la magistrature insiste sur le respect des obligations déontologiques, même sous couvert d’anonymat.
Changement de poste
Rousseau vient d’être nommé conseiller du ministre de la justice de la République du Congo, ajoutant un nouvel élément à cette affaire qui questionne l’impartialité du tribunal de Mamoudzou.
Ce cas soulève des questions cruciales sur la neutralité judiciaire dans un contexte politisé et médiatisé.